Loin d’avoir été créée par les druides, au même titre que l’université, l’archipel sorcier était en réalité une contrée déjà existante, et que beaucoup connaissent sous le nom de Svalbard. Immense contrée de glace et de neige, elle abritait les sorciers autant que les moldus autrefois. Ce fut en 664 ap. J.C que les sorciers décidèrent de couper leur monde de celui des nés sans pouvoirs, afin de protéger leurs intérêts tout comme leur héritage, les druides ayant annoncé la création d’une école qui se devait d’être à l’abri des regards indiscrets. De nombreux sorts furent ainsi lancés pour que nul être dépourvu de magie ne vienne s’aventurer en dehors de ses contrées, ce qui n’est pas tout à fait le cas des sorciers qui apprécient se promener dans les rues moldues, attirant ainsi les regards curieux de certains habitants… ce qui ne dure jamais bien longtemps.
Ainsi l’archipel vint se séparer en deux. Et si sur les cartes moldus la mer entoure leur partie, les cartes sorcières elles, démontrent bien le contraire…



Protégée des regards indiscrets, le côté sorcier de l’île abrite mille et une merveilles du monde magique. De nombreux villages forment ainsi le charme et le prestige du Svalbard, certains étant plus ou moins réputés pour leur spécificité. Bersekbyen pour exemple, accueille des gardiens de créatures dangereuses, au même titre que les éleveurs de dragons. Vous n’y trouverez que peu d’habitants ordinaires en toute vérité. Par ailleurs, peu loin de ce village, se trouve la réserve de dragons en voie d’extinction. C’est là-bas que l’on tente par tous les moyens de préserver ces espèces en danger.
Sur la Terre du Nord-Est en revanche, se trouve la capitale de l’archipel : Ny-Nebelbyen, ville d’affaires principalement, semblable à Moscou par son architecture, à la dernière pointe de la mode tel Paris, remarquablement organisée à l’image de Londres.

Il est très facile de se rendre d’un point à un autre de l’archipel. Pour certains, le transplanage reste le plus rapide, d’autres utilisent les réseaux de cheminées, voire les portoloins. Il reste encore cependant l’image des ponts, idéaux pour les touristes.