| | Sujet: Asher ♠ well, well, well Dim 1 Avr - 21:05 | |
| have you seen this wizard ?ft. ed westwick. ⊰ DANCE LIKE A HAIRY TROLL ⊱ NOM : Darkelson. PRÉNOM : Asher Sevastian. AGE : 31 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 14 août à New York. STATUT PROFESSIONNEL : Professeur de Potions&Poisons. SITUATION : fiancé. TRAITS DE CARACTERE : Lunatique, cynique, secret, arrogant, rusé, tactile, distant, intelligent, réfléchi, rancunier, charismatique, réaliste, calculateur, courageux... | ⊰ BOOGIE LIKE A UNICORN ⊱ BAGUETTE MAGIQUE : Bois d'if, 23.7 cm, avec en son cœur un crochet de basilic encore nimbé d'une ou deux gouttes de venin. ÉPOUVANTARD : une jeune femme morte depuis longtemps, revenant en inferi. Le visage creusé, grisâtre et décharné, sa lourde chevelure clairsemée sur une crâne à moitié dévoré. PATRONUS : un once. MIROIR DU RISED : la même jeune femme, glissant ses doigts entre les siens. ASCENDANCE : sang pur. CURSUS SCOLAIRE : A étudié à Salem, avant d'intégrer Fidelitas en CURSUS ENSEIGNEMENT MAGIQUE. MAISON : Silverwind. |
the littlest things Asher a développé une mémoire auditive et visuelle très tôt, et a donc une mémoire photographique a déjà été amoureux, mais a perdu sa fiancée suite à la malédiction pesant sur sa famille. s'est réfugié dans les études et la connaissance en repoussant les autres. a tout quitté à la fin de ses études pour tenter d'en apprendre encore et toujours plus en maléfices, potions et poisons, développant dans un même temps le talent d'occlumens. a un lien particuliers avec l'une de ses élèves parce qu'elle se trouvait là au mauvais endroit au mauvais moment, nouveau détail qu'il cherche à briser, bien qu'en attendant il veille sur elle. est fiancé avec une élève de Fidelitas qu'il considère comme sa propriété, mais qu'il ne connait pas encore vraiment. a déjà tué et assassiné pour des connaissances, et recommencerait sans l'ombre d'un remord. ... - Citation :
- ⊱ PSEUDO : Asher S. Darkelson
⊱ PARTICULARITÉ SOUHAITÉE : OCCLUMANCIE L'Occlumancie est l'opposé défensif de la Legilimancie. La Legilimencie comme on a pu le voir est la possibilité d'entrer dans l'esprit de quelqu'un alors que l'Occlumancie est l'art de défendre son esprit contre ces tentatives de pénétration extérieur, le fermer à toute intrusion ou influence magique. Ainsi, elle permet de mentir à un Legilimens sans avoir l'air suspect comme en évitant le face-à-face ou le regard, il faut alors savoir vider son esprit de toutes pensées et de toute émotion. C'est une magie complexe qui permet à haut niveau de supprimer ses sentiments et souvenirs qui pourraient trahir ses pensées au Legilimens. ⊱ POURQUOI ? : De sorte à ce qu'Asher puisse cacher ses méfaits antérieurs. Il ne s'est limité à rien dans sa recherche du bannissement de sa malédiction. Si la possibilité de ramener Snow à la vie lui a trotté quelques temps dans la tête, il l'a rapidement abandonné, parfaitement conscient que c'était juste impossible. Néanmoins, il ne veut jamais que l'on puisse lui reprocher ses crimes antérieurs, ni même ce qu'il pourrait être encore en mesure de faire pour se préserver. ⊱ QU'EST-CE QUE CETTE PARTICULARITÉ VOUS APPORTERAIT NIVEAU RP ? : Ce donc pourrait lui permettre de dissimuler tout ce à quoi il touche, le fait qu'il se soit lié à une élève sans réellement le vouloir, mais également le détail de sa malédiction. Si on avait conscience du pourquoi sa fiancée de l'époque était morte, sûrement qu'aucune femme ne voudrait un jour porter ses enfants, si c'est pour voir leur fils un beau matin subir la même douleur. Mais le plus important est qu'Asher est une personne des plus secrètes qui ne voudrait pas qu'un vulgaire étudiant ou un autre professeur s'introduise dans ses pensées, fouine dans ce qu'il pourrait se souvenir, plus encore de ses meurtres, ou de la mort de Snow qu'il se reproche. Il aurait pu être la bête l'ayant tuée qu'il n'y aurait vu aucune différence. De plus, il lui arrive, parfois, d'entendre des voix... ce serait regrettable qu'on lui reproche cette légère instabilité. Cela lui aurait d'ailleurs permis d'éviter d'être arrêté après avoir été interrogé lors de ses déplacements par des aurors. ⊱ COMMENT VOTRE PERSONNAGE ET SES PROCHES LE VIVENT AU QUOTIDIEN ? : Naturellement. Il n'est simplement pas possible de s'introduire dans son esprit, ou plus précisément, c'est comme s'il était vide, ou s'était composé des pensées naturellement anodines. ⊱ EXEMPLE DE RP : - Spoiler:
Others they seem so very nice nice nice nice nice oh oh. Club de Striptease. Fallait-il réellement décrire à quoi ressemblait cet endroit de décadence absolue que ces derniers siècles avaient apporté à la civilisation ? La sensualité brûlante qui s'exilait de ce marché des sens, mais surtout du sexe brutal et brumeux d'une imagination trop fertile, brimée par ces règles de l'interdit ? Il fallait reconnaître qu’il était agréable de s'y trouver, et que certaines filles valaient plus qu'une seconde égarée, qu'une œillade délaissée. Samuel en avait d’ailleurs repéré une ou deux qu’il aurait aimé dépêcher pour une nuit ou quelques lampées de sang. Après avoir passé quelques heures indistinctes en compagnie des cadavre, la chaleur humaine possédait une douceur troublante, enivrante et affamante. Mais l’argent possédait toujours ce pouvoir ensorcelant d’étreindre les esprits les plus faibles, les billets verts semblaient hypnotiser, briser les plus impitoyables volontés en faveur d’une passation de propriétaire. Et si cela pouvait être remis en doute, Samuel... Nergal... n'en avait jamais réellement manqué, et c'était plutôt même l'absolu contraire ces deux derniers siècles. L’oppressante sensualité de la jeune femme qui dansait, frôlant le corps de Samuel sous l’opulente noirceur de la pièce, était exquise, bien qu'un peu trop vulgaire. La musique semblait vouloir se glisser sous chaque parcelle de chair étourdie dans ces lieux de perdition. Et celle que le rythme rendait de plus en plus charnelle avec le client dont elle ne se serait jamais méfiée, ne semblait pas trouver son métier des plus désagréables à cette funeste et incisive seconde où elle croisa son regard une fois de trop. Les règles, il les connaissait, l’on ne touchait que pour glisser un nouveau billet, sauf si la fille était d'accord pour un petit surplus venant d'elle. Elles n’étaient pas des prostituées, les proies favorites d’un éventreur ayant encore tant et si bien marqué les esprits, sublimant par son incapacité à masquer ses carnages, bien d’autres monstres. Se redressant légèrement comme pour parvenir à ses lèvres, il la vit s’éclipser d’un sourire joueur. Agaçante petite souris… « Embrasse-moi. » souffla-t-il alors en revenant s’adosser négligemment, son regard acéré ponctuant ses paroles, son timbre profond et rocailleux enveloppant l’hypnose d’une pulsation malsaine de pupilles. Les lèvres mortelles vinrent chercher les siennes, l’embrassant avec fougue, sans qu’il ne l’effleure, ne la touche, ne l’ébauche de la plus infime caresse en provenance de ses doigts. Il sentit la pression sur son bas-ventre se faire plus lascive, moins joueuse, plus expressive. Et de cela, il n’était nullement responsable. Et personne ne vint lui faire la moindre remarque, ni le videur dont il avait déjà croisé le regard… ni le barman, ni nul être en vérité, qui en ces lieux auraient pu avoir le droit de lui en faire la moindre. Il avait de l’argent, mais c’était ce qu’il était qui rendait la situation plus pernicieuse, plus enjôleuse, et certainement plus malsaine. « Je termine dans une heure… » murmura la nymphe si peu vêtue, tandis qu’il laissait son visage s’égarer à même sa gorge, sa langue sinuant sur cette peau dont il goûtait la saveur avec une indécence redoutable. Qu’en était-il alors du besoin impérieux de planter ses crocs, d’apprécier la fragrance de ce sang dont il humait presque les effluves à l’image d’un vin capiteux ? « Je pensais à une danse privée. Maintenant. » répondit-il à sa proposition. Ici, trop de contact semblerait parfaitement déplacé au fond, et Samuel ne se permettait plus d’esclandre fâcheux, même si le club était loin d’être bondé, les nouveaux clients pourraient poser problème. Lorsque la danseuse nocturne se redressa finalement, un sourire mesquin se dessina sur les lèvres du dieu à la vision de l’apparition qui se profilait à l’horizon, le laissant détailler chaque parcelle de ses courbes. Peut-être était-ce un mal de l’avoir vu grandir, le temps n’était qu’une broutille insipide à ses yeux, et ses lèvres, ses doigts, sa personne toute entière se voulait joueuse ; il se retenait encore, comme s’il craignait de briser un outil trop précieux à ses yeux. « Une divinité en surpassant tant d’autres. » laissa-t-il planer de son timbre profond pour tout commentaire à la vision de cette sombre chevelure étourdie sur ses épaules. Sa sorcière, celle qu’il avait sauvée du haut de ses seize ans. Une coïncidence en réalité, mais qui lui avait grandement servie. Coïncidence également si elle se trouvait ici ? Bien sûr que non, Samuel n’était pas idiot, tant cette dernière lui rappelait ces divinités indoues à la colère brûlante et envieuse qui palpitait dans ces prunelles. Pourtant il ne fit aucun geste, laissant sa proie s'attarder à ses côtés, comme si elle craignait qu'il ne la suivrait pas. La réponse étant certainement positive, elle ne s'y trompait pas. I'll be waiting for you baby.
the littlest things Chaque vie a sa propre consonance, sa propre noirceur capable d'étouffer son principal concerné. [ 0 ans] | Est né à New York.
| [ 1 à 4 ans] | A compensé sa non possibilité de lecture par le développement d'une mémoire auditive et visuelle qui lui servira tout au long de sa vie.
| [ 6 à 11 ans] | A été éduqué très tôt par un précepteur du monde sorcier.
| [ 11 à 17 ans ] | A suivi sa scolarité à Salem.
| [ 17 à 24 ans ] | A poursuivi à Fidelitas dans la maison de Silverwind, dont il a été préfet.
| [ 24 à 29 ans ] | A cherché et trouvé un mage noir pour parfaire ses connaissances.
| [ 29 ans ] | A postulé pour obtenir un poste à Fidelitas. |
« Pourquoi choisir Potions et poisons ? » souffle la nuit, l’obscurité à son porteur. « Et pourquoi pas. » répond-il avec indolence, incertain de la personne avec laquelle il converse dans les profondeurs de ses songes. « Les maléfices étaient déjà pris… et il faut plus de quelques années pour passer maître en magie noire ou ancienne. Bien que mes connaissances ne laissent pas à désirer, je suis maître dans les domaines que j’enseigne. »
- Spoiler:
the real wizard PSEUDO/PRÉNOM ⊱ Lsi AGE ⊱ Comme les vampires, ça n'a plus d'importance XD TU VIENS D'OU COMME ÇA ? ⊱ Je ne trouvais plus mon chemin, alors j'ai suivi les petits cailloux blancs. TU AIMES ? ⊱ Le fo est magnifique FRÉQUENCE DE CONNEXION ? ⊱ 6/7. GROUPE DÉSIRÉ ⊱ Sorciers AUTRE CHOSE ? ⊱ Nothing.
Dernière édition par Asher S. Darkelson le Dim 8 Avr - 6:50, édité 23 fois |
| Asher S. Darkelson Messages : 16
Arrivée le : 01/04/2012
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Dim 1 Avr - 21:05 | |
| tell me your story ⊰ Chapitre 1 : LA MALÉDICTION DES OMBRES part.1 ⊱ Puisque je vous le jure, ne pourrait-on conjurer le sort ? La malédiction de ces fils, Causée par la faute d’un vénal, Oublié dans cet interstice.
Que le temps se réservera, Punition sans âge et banale, Froid venin, il le chassera.
Dans cett’ malade éternité, Ce qu’ils avaient pu fair’ de mal N’était qu’une irréalité.
Jamais plus ils ne connaîtraient, Perdus dans ce sombre dédale, L’absolution et la paix.
Car je vous le dis, vous le jure, Pour un’ lignée maudit’, fatale, Perdre son premier amour, si dur.
Croire que le destin n’est qu’un facétieux petit crétin ne serait sans doute pas une erreur. Car sa vie et son existence se trouvaient toutes deux obscurcies par la présence impérieuse de cette ombre narquoise et brumeuse. Funeste présage d’un avenir douloureux, emprunt d’une punition vieillissante, mais pourtant vivace et brûlante. - Citation :
- La nuit me torture sans cesse, me ramenant à l’époque où je l’ai perdue, elle. J’avais cru pouvoir défaire un destin fumeux et bien trop brutal qui saignait chaque premier amour réciproque des hommes de ma famille. La malédiction nous poursuivait… Ma mère en avait été la victime. Et mes premiers battements de cœurs affolés avaient condamnée celle qui s’était trouvé sur le chemin de mes lèvres, et du poison qui s’insinua dans ses veines à la seconde où elle éprouva ces mêmes sentiments à mon encontre. L’avais-je tuée aussi sûrement que si je l’avais poignardée de ma main ? Le doute n’est plus permis, nulle tolérance ne se laisse entrevoir sous cette vérité qui enveloppa mon cœur, le priva d’espace et de passion, l’emmurant dans l’espoir de ne plus rien ressentir, jamais, et d’emporter dans la tombe l’odieuse promesse de la survie de la malédiction.
Elle brûlait mes lèvres, consumant ma chair, m’entrainait sur une venelle taciturne et chantante au creux de mon oreille. J’étais parti à la recherche d’une solution ; maître des potions et des poisons, j’avais appris nombre de maléfices… Sans que nul ne soient capable de briser l’abomination qui me rongeait le cœur, m’affublait de la culpabilité de ce trépas, unique, que je n’aurais souhaité. Car la vérité… n’est autre que chaque mâle de la famille Darkelson, verra son premier amour mourir entre ses bras. J’ignore son origine, les livres retraçant l’histoire de ma famille ont tous brûlé lors de l’incendie de l’un de nos manoirs. Et je n’ai jusqu’ici jamais trouvé trace de cette histoire, ni même dans les vieilles légendes transmises de bouche à oreille comme dans les temps anciens. Cela m’aurait peut-être apporté un élément de réponse, la possibilité d’éviter la noirceur obséquieuse de la perte douloureuse, à ma descendance. Mais rien. Rien. Coupable. Coupable. Coupable. Coupable. Coupable. Coupable. Ainsi murmurent ses songes. Pour parler d’Asher, il faudrait également parler de sa famille. Celle porteuse d’une malédiction qu’ils ne peuvent oublier, même si nulle trace écrite ne parsème le moindre grimoire, le moindre livre depuis l’incendie de 1843 de leur manoir non loin de Salem. Incendie qui les a poussés à déménager dans un autre état, New York. La raison n’est en vérité que trop brumeuse pour être explicite, et le monde s’enlise dans les mensonges les plus abjectes. Pourtant, le ciel reste le témoin placide de bien des actes, et il pourrait vous raconter cette histoire, cette mésaventure blasphématoire à bien des égards. Mais pas envers un dieu trop peu enclin à écouter les misères des moldus. Non. Le blasphème ne fut adressé qu’au jeteur de la malédiction. Le vent se levait à peine, glissant sur votre peau, sinuant sur votre gorge comme une main égarée, réclamée depuis des âges immémoriaux. Et le murmure… l’entendiez-vous pousser ses plaintes, sa torture, vous confier mille et une monstruosité ? Non ? Ce n’était que murmures inintelligibles. Hurlement indistinct. Tous. Invariablement. Jusqu’à ces mots… Once upon a time… un homme éperdument amoureux d’une femme qui devait en épouser un autre, jaloux, possessif, et bien loin de l’aimer d’une quelconque manière. Elle n’était que sa possession. Sa future épouse au timbre qui serait inévitablement absent en sa présence. Ils étaient sang pur, quand l’amoureux n’était que né-moldu. Nulle alliance ne serait formée entre eux… sauf qu’ils décidèrent de s’enfuir, de se marier, de s’opposer à ce qui aurait dû être son destin. Mais ce dernier, ce crétin facétieux, ce lutin sans âge à la barbe trainante et grisée de saletés ramassées à même ce sol trébuchant, amena l’absurde vérité au fiancé éconduit. Darkelson entra dans une rage folle, une insanité destructrice qui le poussa à la chercher, à la découvrir, et à l’assassiner froidement. A cette époque honnie, personne n’y trouva à redire. N’était-il pas dans son bon droit ? N’avait-il pas entièrement raison, sauvant ainsi l’honneur de la famille de la pauvresse ? Bien sûr. Et personne… non personne n’éleva la voix, ni même une rancœur froide exprimée au grand jour. L’amoureux brisé, resta prostrée de longues heures près du cadavre délicat sur lequel la mort avait déjà déposé ses droits. La froideur de sa peau, la rigidité de ses membres, son immobilité narquoise. Tout veillait à lui rappeler l’horreur d’un crime causé par l’orgueil. L’amoureux s’acharna, chercha… sentant la colère, la rancœur, la haine dévorer son cœur sous la vision de l’assassin amoureux et heureux. Il chercha… chercha… tant et si bien, qu’un jour, la malédiction se grava sur la peau du meurtrier. Une tâche de naissance à la forme rappelant un cœur brisé. Il arracha la vie à la femme qui donnait naissance à un enfant, un fils… qui portait également cette marque. Ainsi naissait cette malédiction qui meurtrirait les hommes qui en seraient victimes pour le crime d’un ancêtre qu’ils rejetteraient mille fois si cela pouvait leur épargner le présent : leur premier amour réciproque leur serait toujours arraché. - Citation :
- Mes doigts maculés de sang. Mes rêves en sont noyés.
tell me your story ⊰ Chapitre 2 : L' HISTOIRE D'UNE VIE ⊱ Il faut bien naître un jour, vous ne croyez pas ? Croyez-vous qu’il y ait une raison à tout en ce bas monde ? Même à l’horreur, aux atrocités, à l’injustice, au goût âpre d’une vengeance mal dirigée ? Certains sans doute vous diraient que oui, ou bien que ce n’est que les effluves malsains du destin qui ne font qu’envelopper, chavirer, dériver sur ces peaux suintantes, presque suppliantes en un sens. D’autres encore ne vous répondraient que l’on ne fait que récolter ce que l’on sème… qu’une graine insignifiante subira toujours l’attitude de son jardinier dans le choix de la terre dans laquelle elle fut enfouie. Peut-être est-ce finalement un peu de tout cela, de la monstruosité du ciel et des enfers, d’un Merlin trop crédule, d’êtres trop habitués à leurs petites vies chétives. Il y avait des années de cela. Quelques frêles années troubles et vagabondes, dans une vieille maison au passé ancestrale, une femme, cracmol de son état, mis au monde son fils, le seul enfant qu'elle n'aurait jamais. Rudoan Darkelson, illustre sorcier de sang pur, marchait d'un pas impatient dans le couloir, attendant que son fils vienne au monde lorsqu'il entendit les cris de vie du petit être fébrile. Asher fut le nom dont il le gratifia lorsqu'il l'eut sous les yeux, croisant son regard de nouveau né aveugle, ses iris se plissant légèrement devant l'avenir qu'il entrevoyait pour ce petit garçon encore si chétif. Nulle magie n'était responsable de ce qu'il s'était passé cette nuit-là, ce n'était qu'une naissance parmi tant d'autres pour un père de sang pur et une mère du nom de Camille, jeune femme toute aussi sang pur que l'homme qu'il pouvait être, mais qui ne possédait nul pouvoir magique. Ainsi, Rudoan espérait que son fil n'aurait pas hérité des tares de cette femme qui était sa mère et qu'il avait épousée plus par erreur que de sa propre volonté. Allez donc savoir ce qui avait alors traversé son esprit lorsqu'il avait été charmé par cette donzelle qui, il le supposait depuis toujours, avait usé d'une potion pour le garder auprès d'elle dans les premiers temps. Néanmoins, il oubliait la souffrance, la douleur d'avoir perdu celle qu'il aurait aimé épouser, endurcissant son cœur, n'en faisant que le pâle reflet d'un être calculateur et mesquin. Mais les années qui suivirent rassurèrent l'anxieux paternel qui se rendit compte que son "tout petit" possédait des pouvoirs, prodige qu'il ne devait qu'au sang qu'il lui léguait, dans son crâne d'arrogance assassine. Le seul enfant qu'il n'aurait jamais avec cette femme détestable qu'il accusa de folie pour la faire enfermer à Sainte Crawfish et préserver son fils de l'influence néfaste qu'elle pourrait avoir sur lui. Le petit garçon qu'il était ne compris pas tout, ne saisissait pas tellement pourquoi on le privait de sa mère, mais son père eu tôt fait de lui répondre des paroles accommodantes : " Elle est malade, il faut la soigner, sinon elle te fera du mal. Elle est très dangereuse tu sais... mais ne t'inquiète pas, nous irons la voir de temps à autre." Ce n'était qu'un frauduleux mensonge, une malsaine histoire à dormir debout. Mais, malgré tout, sous l'influence de ce père mesquin et sournois, Asher apprenait à vivre, ou plutôt à survivre dans l'adversité, son enfance étant peuplée de phrases telles que : " Si tu es mort, ton courage ou ta fierté ne te sera plus d'aucune utilité." " Ne révèle jamais ce que ton esprit sait, apprend à dissimuler tes pensées à tout instant, quel que soit les sentiments que tu ressens." " Le savoir est une force, l'ignorance une faiblesse." " Apprend à te contrôler en toute situation pour juger de la meilleure répartie à appliquer." " ..." Tout n'était fait que dans le sens de le rendre plus fort, le frappant, le torturant... le rabaissant de temps à autre plus bas que terre pour lui apprendre à se défendre, à réagir, à juger de ce qui était le mieux pour lui. La vie était un combat et si ses joues se retrouvaient souvent rougies par la colère de son paternel, si des marques s'immolaient sur sa chair, côtoyant la tache de naissance qui le mènerait à une inévitable douleur, une force de caractère indéniable s'emparait du petit être autrefois si fragile. Lui n’était qu’un enfant mais assumait déjà cet univers auquel il refusait de se rendre, de se soumettre. Les barreaux étaient raides et durs, et ses assauts insignifiant, si tant était qu'il désirait réellement s'en dérober. Mais il ne les faisant même pas frémir malgré son insistance, revenant subir la violence de son père, sous l'inévitable instruction qu'il lui offrait. Sans doute le préparait-il à la douleur meurtrière de la malédiction, ou cette dernière avait de lui un monstre répugnant qui ne trouvait d'autres moyens que de s'acharner sur un enfant, comme pour expier sa propre douleur. Car si un jour, celui où le ciel semblera vous confier toute l'horreur d'un instant, osez donc demander à Asher de retirer sa chemise. Osez donc vous hasarder à lui demander le pourquoi de ses cicatrices qui maculent sa peau. Osez... et peut-être obtiendrez-vous une réponse. A l'époque, il n'y avait eu que le savoir ; point qu'il ne négligeait aucunement, lisant, apprenant ce que les livres étaient susceptibles de lui transmettre, ce que sa mémoire lui permettrait de mémoriser avec exactitude. Il s'exerçait silencieusement, avec des précepteurs ou bien seul, dans la préparation de son entrée à la grande école de Salem. Mais combien de fois n'avait-il rêvé qu'il le tuait durant son sommeil, ce monstre qui détruisait son enfance ? Ce père haïssable ? Mais il mourrait bien un jour. Et puis il n'était pas obligé de subir sa compagnie outre mesure. Quant à sa mère, il venait la voir de temps à autre, c'était sans doute la seule personne dont il appréciait de revoir le visage. Elle était si fragile et l'hôpital n'avait aucunement amélioré son état, le détériorant plus qu'autre chose, causant cette insanité détestable, ce prétexte qui s'embrasait d'une fourbe vérité.
tell me your story ⊰ Chapitre 3 : ELLE ⊱ Et un jour une femme, dont le regard vous frôle. « Qui te dit que je fuis ? » souffla-t-il en se rapprochant, un léger sourire venant narguer ses lèvres, la laissant reculer d’un pas sous cette nouvelle proximité à laquelle elle ne s’attendait pas. Il la vit humidifier ses lèvres sous l’imprévisibilité de son être, surprise, ne parvenant à comprendre, à saisir ce qui pouvait cheminer dans le creux de son âme, ne résistant néanmoins pas à l’envie de venir effleurer ses traits du bout de ses doigts hésitants. Voulait-elle réellement savoir qu’aucun remord ne l’étouffait, comme ces fois où il avait joué à torturer les chats avec les autres - Parfois juste en leur lançant des cailloux, d’autres fois sous une autre brutalité expiatoire- puis à s'amuser au détriment des premières années ? Capable du pire comme du meilleur… affable avec ses professeurs, il avait su se montrer un élève appliqué, même s’il n’était pas du genre à passer des heures entières sur des devoirs. Il excellait sans effort, sans difficulté, comme si sa mémoire palliait son habitude à ne pas vouloir trop travailler. Lui ne s’impliquait réellement que dans ce qu’il aimait, même s’il savait que le savoir égalait le pouvoir, tout comme il était capable d’aider ou de protéger les rares êtres auxquels il tenait, les autres… ma foi, il savait au moins garder un secret sans en trahir un mot, s’immoler dans l’écoute insidieuse d’une mélodie tout en sachant lui-même jouer d'instruments… enfin cela ne servait pas à grand-chose. « Tu as peur… » souffla-t-il une nouvelle fois en esquissant un pas, la laissant reculer également sans pour autant qu’il ne quitte son regard, ses lèvres se parant d’un cynisme sournois en l’entendant répondre le souffle court. « Non.- Menteuse… » glissa-t-il en l’incitant à reculer encore… Jusqu’à ce qu’elle perde l’équilibre et qu’il s’échappe avant qu’elle ait la lucidité de se rattraper à lui. Ainsi ses bras battirent l’air avec avidité sans rien rencontrer d’autres que les volutes venteuses et l’absence évidente de celui qui la regardait, le sourire aux lèvres, tomber dans les eaux blafardes du lac. Ce ne fut que le plaf qui retendit qui lui fit détourner son attention pour s’emparer d’une cigarette qu’il porta à ses lèvres, l’allumant sans un égard de plus. Tandis qu’elle bataillait déjà pour rejoindre la surface, ou plus précisément la berge qui se trouvait tout de même assez haute… mais surtout dont l’herbe devenue humide se révélait subitement glissante. « Ash… aide-moi à sortir de là ! » Ash ? Ils étaient subitement devenus aussi intimes que cela pour qu’elle l’appelle par ce diminutif ? Cela n’eut pour effet que de lui faire arquer un sourcil de suspicion… mais elle avait bien le droit d’espérer l’attendrir ainsi, même si elle aurait dû se souvenir de qui il était avant d’avoir ne serait-ce que cette pensée folle. Néanmoins, monsieur décida tout de même d’observer les alentours, histoire de vérifier qu’ils étaient bien seuls et ne risquaient dont rien de la part d’un professeur… ce qui serait quand même idiot. Et puis si elle n’était pas trop cruche, elle se servirait de sa baguette et s’en sortirait… peut-être qu’elle se blesserait au passage, mais ce n’était pas ses affaires après tout. « Bonne noyade. » persiffla-t-il très égoïstement en se détournant de la scène, du lac, reprenant la direction du château. Fulminante et passionnée sorcière, elle ne tarda pas à le poursuivre, le rejoindre, d'un pas vif et rapide, sa jupe soulevée à chacun de ses pas sous le bruit clapotant de l’eau ruisselante, glissant sur sa peau humide. Ses pas s'ancrant dans les siens, elle ne tarda pas à capturer son poignet pour l'inciter à se retourner, à la regarder. Sirène extirpée de son élément, nimbée de gouttelettes qui retombaient sur ses traits délicats, son opulente chevelure se collant sur son visage, à ses traits, lui offrant une irréelle beauté, qui fut gâché au regard d'Asher, qui ne reçut qu'une gifle. Vestige, expression de son enfance moldue, elle qui n'était née que deux parents dépourvus de pouvoir, n'ayant jamais pensé que la magie puisse exister avant elle. Une rancœur, colère fourbe et si sourde qui s’ancra dans son cœur, ses doigts se crispèrent sur son poignet, lui arrachant un petit gémissement de douleur, tandis qu’elle laissait tomber la baguette qu’elle n’avait pas jugé utile d’utiliser. Pourquoi les choses auraient-elles dû changer ? N’avait-elle pas, par sa gifle, choisit ses armes ? Brutalement, il l’attira plus près de lui, son autre main venant s’enrouler autour de sa gorge, quand ses lèvres frôlaient presque les siennes, crachant un venin assassin. « Ne recommence plus jamais ou je te le ferai amèrement regretter. » Mais déjà, sous une agressivité profane, ses lèvres s’abîmèrent aux siennes, capturant le précieux souffle de la délicate nymphe qu’il maltraitait, dévoilant l’incandescence qui irradiait son cœur, l’improbabilité de pouvoir éprouver ces funestes sentiments qui la condamneraient à mort si elle venait à…
tell me your story ⊰ Chapitre 4 : LA MALÉDICTION DES OMBRES part.2 ⊱ Puisque je vous le jure, ne pourrait-on conjurer le sort ? ...
Jamais plus ils ne connaîtraient, Perdus dans ce sombre dédale, L’absolution et la paix.
Car je vous le dis, vous le jure, Pour un’ lignée maudit’, fatale, Perdre son premier amour, si dur.
Du sang. Du sang. Toujours du sang. Encore du sang. murmurait les ténèbres à son esprit brisé, ses doigts se noyant dans l’irréalité aux aspects carmins qui irradiait ses doigts d’une noirceur poisseuse. Quelques semaines, à peine trois mois de sentiments échangés, partagés, brûlants, et il avait fallu qu’ils se disputent. Lui, dans le but de la préserver, avait décidé de s’éloigner à la recherche d’un remède, sans même avoir terminé ses études, entamé celles qui se dérouleraient à Fidelitas. Il ne voulait surtout pas perdre ce qu’il découvrait, désirait tellement. Elle avait pris la décision de sortir de l’école, de s’enliser dans les bois environnant l’école, s’égarer sous une lune ronde et pleine qui observait le sorcier à présent d’un œil narquois. Une subtile couleur rougeâtre inondant son argent délicat, comme nimbée du sang de celle dont il serrait le corps inerte. Il ne l’avait pas poursuivie assez rapidement, il n’avait pu empêcher l’inévitable. - Citation :
- Mes doigts maculés de sang. Mes rêves en sont noyés. Mes lèvres contre les siennes à la recherche d'un baiser de misère, celui du véritable amour auquel elle ne cessait de croire. Comme une étourdissante créature qui voulait me convaincre qu'une Blanche Neige pouvait s'éveiller sous l'étreinte de véritables sentiments. Ma Snow, comme je la surnommais, avait la peau si froide, glacée dans l'indolence mortuaire d'une créature que je ne cessais de haïr. Et je sentais mon coeur se briser, encore. Encore. ENCORE ! Me laissant hurler à la lune comme un animal fou de la douleur assassine qui le consumait. Mon amour la tuait éternellement dans le creux de ces songes dont je n'arrivais à m'échapper, reproduisant chaque geste dans l'espoir qu'un jour, qu'une nuit, mon esprit se montrerait assez sournois pour m'offrir quelques secondes de plus avec elle. Car depuis cette nuit-là, le sang macule mes doigts, mes rêves me noient sous les larmes opalines et sanglantes de la lune, emportant avec elle une petite partie de moi...
Je l'ai tuée. Coupable. Coupable. Coupable. Coupable. Coupable. Coupable. Ainsi murmurent ses songes. Depuis cette nuit-là, Asher a simplement poursuivit ses études dans le but de se noyer, de se raccrocher à quelque chose de tangible, de découvrir la faille à sa malédiction en gagnant en puissances et en connaissances. Il sombra graduellement sous une distance plus assassine que jamais, persistant sous le secret de ses pensées, de son passé. Personne n'ignorait qu'il devait ce changement à la perte malsaine de la femme qu'il aimait. Et même s'il se rapprochait pour apprendre chaque détail des réactions du corps, comme un autre cursus le lui aurait permis, il ne supportait plus d'être touché, effleuré. Puis un jour, diplômé, il disparut, prenant de la distance avec le monde entier, allant s'égarer auprès des plus puissants sorciers, apprenant dans la noirceur de leurs existences les plus abyssales secrets dans le but de briser un jour cette malédiction, de préserver ses plus noirs secrets, la souffrance de l'apprentissage ne lui paraissant plus qu'être une véritable pacotille. N'avait-il après tout pas connu la pire injustice, la pire douleur pouvant exister en ce traître monde : celle de perdre la femme qu'il aimait, et pour laquelle il serait mort, noyant son égoïsme morbide pour qu'elle puisse rire encore, que ces notes cristallines puissent résonner à d'autres oreilles. Les nuits et les jours à ne plus dormir n'étaient rien. Les cicatrices résultant de recherches, de tentatives, de vols, n'avaient en fin de compte aucune importance palpable. Jusqu'à finalement revenir, l'âme noircie, une faille zébrant son cœur, invisible aux regards du monde. Il avait appris, et fait des choses qu'il ne crierait pas sur les toits, mais désirait revenir à Fidelitas... aussi postula-t-il pour devenir enseignant du haut de ses 29 ans, maître des potions et des poisons, maîtrisant ces deux choses comme peu d'être en ce monde. Sans doute pourrait-il être l'empoisonneur le plus méticuleux du monde sorcier s'il s'en donnait la peine, voir même pourrait-il contrer ces autres poisons s'il le désirait. Mais il ne voulait qu'avoir accès aux innombrables ouvrages contenus dans l'école, tout en entraînant derrière lui nombre de grimoires dérobés ou hérités. Il obtint le poste sans grande difficulté... acceptant même une alliance avec une famille riche des environs, faisant d'une élève de Fidelitas sa promise par intérêt, sans même la connaître. Ce n'était qu'un infime contrat de plus, dans une vie déjà trop maltraitée, l’acquisition d'une nouvelle propriété. Ce qu'il n'avait néanmoins pas prévu, c'était qu'une ignorante demoiselle pénétrerait dans son antre un soir où il tenterait pour la énième fois de briser une magie ancestrale. Ce qui provoqua des effets on ne pouvait dire plus indésirables... liés dans la vie comme dans la mort, les blessures de l'un s'immolaient sous l'invisible, mais bien présentes dans le ressenti de l'autre. Les sentiments de l'un se laisseraient percevoir par l'autre, plus la proximité se ferait présente... Indiscrète élève qu'il n'avait d'autre choix que de protéger pour s'assurer de sa propre survie.
Dernière édition par Asher S. Darkelson le Dim 8 Avr - 6:56, édité 24 fois |
| Asher S. Darkelson Messages : 16
Arrivée le : 01/04/2012
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Dim 1 Avr - 21:08 | |
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| Nepheÿlæ nò Shahrÿzaï Administratrice de Fidelitas Préfète de Silverwind Messages : 55
Arrivée le : 26/02/2012
Avatar : Barbara Palvin
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Dim 1 Avr - 21:10 | |
| Merciiiiiii (C'est toi qui dis ça XD ?) Et t'as intérêt pour le lien ! En plus tu connais le genre de persos que j'aime jouer, donc Merci et me mets pas la pression x) |
| Asher S. Darkelson Messages : 16
Arrivée le : 01/04/2012
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Lun 2 Avr - 5:29 | |
| bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche |
| Bonnie S. Findtigernd Administratrice de fidelitas sorcière au foyer Messages : 138
Arrivée le : 26/02/2012
Avatar : Odette Annable (riddle, dripping alchemy.)
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Lun 2 Avr - 5:30 | |
| Merci beaucoup Bonnie |
| Asher S. Darkelson Messages : 16
Arrivée le : 01/04/2012
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Lun 2 Avr - 6:54 | |
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| Nepheÿlæ nò Shahrÿzaï Administratrice de Fidelitas Préfète de Silverwind Messages : 55
Arrivée le : 26/02/2012
Avatar : Barbara Palvin
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Lun 2 Avr - 15:28 | |
| Mais c'est toi qui m'as sauté dessus comme ça (Tss, tss, tss XD) Normal en même temps. moi-même je sais pas encore tout à fait Même pas vrai, tu me la mets x) |
| Asher S. Darkelson Messages : 16
Arrivée le : 01/04/2012
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Lun 2 Avr - 15:42 | |
| Bieeeeeeeenvenue, cher professeur de Potions. |
| Faust V. Fitzgerald Administratrice de Fidelitas Eleveuse de Boursoufflets Messages : 94
Arrivée le : 07/03/2012
Avatar : Emma Watson
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Lun 2 Avr - 19:05 | |
| Merci Faust |
| Asher S. Darkelson Messages : 16
Arrivée le : 01/04/2012
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Lun 2 Avr - 20:24 | |
| - Asher S. Darkelson a écrit:
- Mais c'est toi qui m'as sauté dessus comme ça
(Tss, tss, tss XD)
Normal en même temps. moi-même je sais pas encore tout à fait
Même pas vrai, tu me la mets x) Nah mais moi j'ai droit =o … *La fille qui s'octroie pas du tout tous les droits … non non * (Tseuh tseute pas… Sinon … je cherche pas notre lien ) Non tu mens. |
| Nepheÿlæ nò Shahrÿzaï Administratrice de Fidelitas Préfète de Silverwind Messages : 55
Arrivée le : 26/02/2012
Avatar : Barbara Palvin
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Jeu 5 Avr - 17:02 | |
| Oh Gosh. Happily, Fabou est inscrite en potions (a) Bienvenue ! |
| Fabiola J. Prill Messages : 25
Arrivée le : 02/04/2012
Avatar : Freya Mavor, (c) Punky
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Dim 8 Avr - 7:00 | |
| De toute façon on l'a trouvé notre lien, mademoiselle la curieuse Hé hé, nos persos s'y croiseront alors Merci ! |
| Asher S. Darkelson Messages : 16
Arrivée le : 01/04/2012
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Dim 8 Avr - 12:16 | |
| Je te valide ça tout de suite ! |
| Faust V. Fitzgerald Administratrice de Fidelitas Eleveuse de Boursoufflets Messages : 94
Arrivée le : 07/03/2012
Avatar : Emma Watson
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well Dim 8 Avr - 15:41 | |
| Merci beaucoup Faust |
| Asher S. Darkelson Messages : 16
Arrivée le : 01/04/2012
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| | | Sujet: Re: Asher ♠ well, well, well | |
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